La promesse était
lancée : « Si tu m’accompagnes au tatoueur, ce soir tu
auras le droit à ton péché mignon ». Nous y étions, j’étais
allongée sur le fauteuil, les aiguilles traversant la peau de ma
cuisse. Lui était là, un sourire satisfait habillant son visage.
Nous y étions depuis déjà trois heures et l'ennuie n'apparaissait
pas sur son visage, depuis le début il me regardais avec ce sourire
coquin. Parcourant mon corps dénudé du regard. Je savais qu'il
était en train de planifier ce qu'il allait me faire quelques heures
plus tard. Plus je pensais à ce moment et moins la douleur était
intense, je ne pensais qu'à une chose : son corps ne faisant
qu'un avec le mien. Son péché mignon était aussi le mien : la
sodomie.
Une heure plus tard nous
montions les escaliers menant à notre appartement, je le sentais
bouillonner derrière moi. Arrivés à la porte d'entrée, alors que
je cherchais les clés dans mon sac sa main se posa sur ma fesse
tandis que son autre bras entourait ma taille. Il commençait à
m'embrasser tendrement dans le cou, un gémissement s'échappa de ma
bouche et il s’arrêta net.
J'ouvris la porte encore
essoufflée de ces quelques secondes de sensualité. Il se dirigea
vers la chambre et en ressortit avec une boite velouté. N'importe
qui aurait pu croire à une boite contenant un beau bracelet, mais il
y avait là dedans quelque chose de bien plus existant. Il ouvrit la
boite et en sortie un plug anal sertie d'un magnifique quartz.
Il me prit par la main et
m'emmenas dans notre chambre, il me poussa en douceur sur le bord du
lit. Il releva délicatement ma longue jupe fleurie pour la poser sur
mes hanches soutenues par le bord du lit. Ses mains commencèrent à
parcourir mes cuisses, puis mes fesses et je sentit deux doigts se
glisser dans la chaleur de mon intimité. J’échappais un
gémissement à ce contact si agréable. De son autre main il me
tendit le précieux bijoux afin que je le réchauffe entre mes mains.
Pendant ce temps un autre de ses doigts s'était glissé sur mon
clitoris et le caressait lentement. Après quelques minutes de
plaisir le bijou était chaud et je lui tendis, un de ses doigts
s'échappa de mon vagin pour pénétrer lentement mon anus. Après
quelque vas et viens le deuxième doigt le rejoignit, c'était
tellement bon et tellement doux. Je sentit un peu de lubrifiant coulé
et quelque seconde après le plug prenait en douceur la place de ses
doigts. Je sentais l'extrémité du bijou se faire un passage et ne
pu m’empêcher de gémir de plaisirs. Il laissa le bijou sortir, ce
qui me fit gémir encore plus et recommença à lentement caresser
mon clitoris. Il jouait avec moi. Je sentais le bijou qui lentement
se refaisait une place entre mes fesses, la lenteur de l'acte
m’excitait encore davantage. Je sentais la sève chaude de mon
intimité couler le long de mes cuisses alors que ses doigts était
de nouveau en moi. Le bijou vint se blottir quand il le lâchât, ses
doigts s'échappèrent, il remit en place ma culotte en dentelle et
redescendit ma jupe. Ses lèvres vinrent effleurer ma nuque et il me
chuchota :
Il repartit alors que
j'étais encore toute tremblante et humide. Par la porte entrouverte
je le voyais allumer son ordinateur et lancer une partie de
Battlefront. Je ne pouvais pas croire qu'il retourne à sa petite vie
alors que mon corps était prêt à l’accueillir. Je ne désirais
qu'une chose présentement : qu'il se glisse au plus profond de
moi et qu'il apaise cette tension qui était montée par sa faute.
Mais non il mettait son casque sur la tête et saluait ses amis qui
l'attendaient pour commencer. Je sortie de la chambre décidée à
faire comme si de rien était, mais le bijou logé au creux de mes
fesses me massait intérieurement, et ce divinement bien. Je n'avais
pas l'habitude de ce bijou qui était légèrement plus gros que ceux
que nous avions l'habitude d'utiliser.
Intérieurement je
bouillonnais, mais je ne voulais pas lui montrer, je ne voulais pas
qu'il soit satisfait alors que moi j’étais dans la frustration la
plus totale. Je prit donc la direction de mon atelier pour reprendre
le travail que j'avais laissé de coté en partant au tatoueur
quelques heures plus tôt. Je reprit mes pinceaux mais l'esquisse
faite un peu plus tôt ne me convenait plus, les formes florales me
paraissait trop douce. Je met cette feuille de côté et commence à
esquisser une femme de dos. Une fois terminé je me rend compte
qu'elle me fait atrocement penser à ce merveilleux et excitant
moment qui vient de s'achever. Je lui ajoute donc une robe tombant
sur ses hanches et laissant apparaître ses dessous. Alors que je
m’apprête à passer à la mise en couleur quelqu'un sonne à la
porte. Je sort de mon atelier et croise le regard d'Augustin qui me
fait son plus beau sourire, une petite lueur dans les yeux. J'ouvre
la porte et tombe nez à nez avec mon professeur de yoga. J'avais
complètement oublié que c'était aujourd'hui. Je le fait entrer et
lui demande cinq minutes pour que je me change. J'enfile un leggings
et un débardeur et reviens dans le salon. Augustin est aux anges et
je sais très bien pourquoi. Le joli petit bijou va forcément bougé
à chaque mouvement durant cette séance. Il éteint son ordinateur
et se met sur le canapé avec un livre. Il est juste derrière moi. A
chaque mouvement un massage intérieur divin se produit, mais je doit
rester de marbre. Au bout d'une demi-heure, je commence à me sentir
vraiment chaude et humide et je demande à mon professeurs s'il est
possible d'écourter la séance en prétextant un mal de ventre. La
séance se termine laissant Augustin satisfait de mon excitation
visible. Je raccompagne le professeur à la porte et revient dans le
salon pour me blottir contre mon tortionnaire.
Cette séance a été
un peu courte ?
Oui j'ai comme une
tension dans le ventre.
C'est dommage, tu
devrais essayer sans vêtement peut être qu'il te gênait un peu.
Son petit jeu commence à
être drôle, j'enlève mon t-shirt et descend lentement mon leggings
en me penchant en avant. Il caresse tendrement une de mes fesses de
sa main droite et je m'avance sur mon tapis de yoga. Je continue la
séance prévue et enchaîne les postures, je sens son regard sur moi
et j’entends sa respiration se faire de plus en plus forte. Cette
fois c'est moi qui m'amuse. Son regard sur moi fait monter encore
plus rapidement mon excitation et je sens encore une fois ce liquide
chaud coulé le long de mes cuisses. Lui aussi là très bien vu, il
passe sa langue sur ses lèvres et se lève. Il se blottit derrière
moi et je sens son érection contre ma hanche nue. Il attrape un de
mes seins et commence à m'embrasser dans le cou. Son souffle chaud
me met hors de moi et il me demande :
A quelle heure
peut-on dire qu'il est le soir ?
Je dirai dix-huit
heure, mais je ne suis pas une experte.
Ça me semble est
une heure convenable, mais nous avons déjà une demi-heure de
retard alors.
Il n'avait même pas fini
sa phrase qu'il m'avait déjà soulevée de terre et qu'il se
dirigeait vers notre chambre. Il me jeta sur le lit et commenças à
se déshabillé, dévoilant ses muscles saillants. Le rayon de soleil
de la golden hours caressai son torse nu, donnant à sa peau une
teinte dorée. Une fois nu il s’approcha de moi et commenças à
m'embrasser avec passion. Je sentais le goût sucré de ses lèvres
et la chaleur de sa langue contre la mienne. Ses mains caressaient
mon corps avec douceur et violence en même temps. Ses lèvres
rejoignirent mon cou et descendirent petit à petit pour arriver à
mes tétons durcies par l’excitation. Il entoura l'un d'eux de sa
bouche et caressa tendrement l'autre de la paume de sa main. Je me
cambre alors, de plaisirs et mon corps ondule au rythme de ses coups
de langue. Sa bouche change de téton et il commence à le mordiller
entre deux coups de langue. C'est tellement bon ! Ses mains
continues à caresser mes courbes et pousser par l’excitation je
retourne la situation, le met sur le dos et le chevauche en
l'embrassant. Ses mains se posent sur mes fesses et il se tente à
une petite tape de la main gauche. Cette fessée inattendue fait
bouger le plug toujours en moi et je laisse échapper un petit cri.
Un sourire se dessine sur son visage et je commence à lentement
faire glisser mes lèvres vers son torse. Je me retrouve très vite à
genoux au pied du lit, devant son membre gorgé de sang. Il s'assoit
sur le bord du lit et me caresse tendrement la joue alors que ma
langue effleure son gland chaud. Ma main attrape la base de son sexe
et commence à faire des vas et viens, il me fait comprendre d'un
grognement de plaisir qu'il a envie de plus. J’accueille lentement
son sexe entre mes lèvres et le laisse glisser dans le début de ma
gorge. Je sens l’afflux sanguin par accoue contre mes lèvres. Je
commence à lentement aller de haut en bas tout en attrapant
délicatement ses parties. Des gémissements commencent à se faire
entendre alors que j'accélère légèrement le rythme. Il attrape
mes cheveux remmenés en chignon et guide le rythme des vas et viens
en caressant mon sein de l'autre main. Il me lâche d'un coup et me
soulève par les épaules pour me mettre sur le ventre. Il écarte
délicatement mes cuisses et commence à faire bouger le bijou logé
dans mon anus, il tire dessus sans le faire sortir et le lâche pour
qu'il vienne comme taper mon intimité. Mes cuisses sont à nouveau
trempées d'excitation et il me retourne sur le dos. Sa bouche prend
directement le chemin de mon entre-jambes, je sent sa langue contre
mon clitoris et commence à gémir. Je sens ses doigts se glisser
dans mon vagin et les vas et viens se font de plus en plus intense
faisant bouger le bijou. Ces doigt se plis vers le haut pour venir
appuyer sur mon point G et je sens cette tension monter en moi. Je le
supplie de continuer, plus fort encore. Sa langue accélère le
rythme de ses caresses et ses doigts appuient encore plus fort. Plus
rien n'existe autour et je sent la pression monter encore et encore
en moi. Un cri bestiale m'échappe et j'explose dans un orgasme. Mon
corps est en proie à des spasmes de plaisir et il ralentit doucement
le rythme, se relevant pour apprécier la vue de mon corps encore
possédé par le plaisir. Alors que j'étais encore tremblante je
sentit son pénis entrer en moi et remplir mon vagin. Il commenças à
faire des vas et viens tout en m'embrassant. Je n'en pouvais plus,
mon corps bouillonnait et mes gémissements étaient de plus en
intense. Il se retira quelques minutes plus tard et me libéra du
bijou logé en moi. Il se coucha sur le dos me laissant l'enfourcher
et guider son pénis entre mes fesses. Aider par mes mains son membre
pénétra mon anus en douceur et vint me remplir dans un gémissement.
Ses vas et viens en moi faisait accélérer sa respiration, ses
gémissements était maintenant bestiale. Les mains posées sur mes
hanches il commençait à accompagner le mouvement de mes hanches
avec les siennes. Sa main glissa le long de ma hanche et il
commençait à caresser mon clitoris quand il me fit comprendre de me
mettre à plat ventre sur le bord du lit. Je m'exécutait et exposait
ainsi toute mon intimité à sa vue. Son pénis se reglissa entre mes
fesses, c'était divin. Au fil des vas et viens cette tension revint
en moi poussant mon corps à onduler à chaque coup de hanche ce qui
fit monter l'excitation d'Augustin. Chaque coup se faisait plus
intense et je m'abandonnait à l'orgasme l’entraînant avec moi
dans ma chute.